SimCity
Arrivée à Singapour. Il est dix-sept heures et la température au sol est de 31 degrés.
L’aéroport d’abord. Véritable temple de la consommation, il donne le ton : palmiers géants et cascades s’aperçoivent entre les vitrines des duty free.
La ville, ensuite. A la mesure de son aéroport. Moderne. Propre. Efficace. Ici, le métro file droit et les bouchons semblent inexistants - que Londres nous semble loin. Les avenues sont bordées de végétation luxuriante florissant à l’ombre des tours ultra modernes du centre ville.
Singapour a du être créée par un adepte de jeux informatiques, tout est bien calculé. Le centre d’affaire côtoie la promenade aux restaurants colorés pieds dans l’eau, un boulevard commercial géant sépare les deux quartiers « typiques » chinois et indiens et il paraît même qu’une île à vingt minutes du centre a été consacrée parc d’attraction de la ville.
Nous prévoyons de rester le strict minimum.
Hic, le visa pour l’Inde se délivre au bout de cinq jours. Nous revoyons donc notre plan de vol. Et Singapour étant aussi un carrefour culinaire réputé, nous nous initions avec plaisir à la cuisine asiatique.
Les Singapouriens filent doux ? Quelques éléments d'explication:
Bises à tous !